Produire du sirop d’érableest un marché québécois. Cependant, gérer ce marché a donné naissance à la fédération des acériculteurs du Québec, un organisme qui relève de l’union des producteurs agricole (UPA). Les règles imposées par la fédération ne font pas que des heureux, malgré que ce modèle économique semble avoir de l’avenir et favoriser le consommateur. L’augmentation de la production, principalement causée par l’avancée des connaissances technoscientifiques dans le domaine, a triplé alors que la demande pour le produit a doublé. Découvrir comment M. Jean-Pierre Caron a reçu une amande de 735 000 $ de la fédération des acériculteurs au printemps 2006 nous permet d’explorer l’origine du sirop d’érable et les techniques de raffinement jusqu’à la mise en marché.
Crédits Coordination : Patrick Touchette Révision didactique et montage du canevas : Nicolas Aubert Création des enquêtes et des quiz : Sébastien Blais-Corbeil Rédaction et révision scientifiques, bibliographie : Mohamed Righi Révision linguistique : Mélodie Lamarre Remerciements : Véronique Fournier