L’augmentation des problèmes respiratoires représente un problème social directement relié à la qualité de l’air que nous respirons. Tout commence avec ce qui nous semble le plus visible, la qualité de l’air extérieur. Mais si on regarde un peu plus l’horaire de nos journées, on s’aperçoit que la qualité de l’air intérieur mérite aussi d’être étudiée. Pour beaucoup, et notamment dans les écoles secondaires, nous passons plusieurs heures chaque jour de la semaine dans un milieu ventilé. Et encore, de plus en plus de maisons sont équipées d’un système de ventilation central. Il en résulte que l’air extérieur, dont la qualité est en certains endroits discutables, souffre le passage dans un système de ventilation : puis nous le respirons! Devons-nous être alarmistes, prudents ou confiants à l’égard de ceux qui décident de l’air que nous respirons? À partir de cette question, l’élève explore les concepts prescrits afin de se faire une représentation des éléments pouvant affecter la qualité de l’air extérieur. Il continue son enquête en étudiant le fonctionnement des conduits d’air dans les édifices et les maisons. De façon qualitative, il parvient à décrire sa situation et se forge une opinion sur les mesures en place pour une bonne qualité de l’air dans son environnement.