Situation d'apprentissage-évaluation


Année, cycle
  • Secondaires 1 et 2, cycle 1

Discipline(s)
  • Science et technologie

Approche pédagogique
  • Étude de cas

Thématique
  • Sommes-nous pollueurs de la Terre?

Mise à jour
  • 9 juillet 2007


Résumé
La popularité de certains sites d’alpinisme génère un achalandage justifiant l’apparition de petites communautés dont l’économie repose sur le tourisme d’aventure. Par conséquent, il y a des déchets, mais rien pour les collecter ou les recycler. Le mont Everest est l’un de ces sites qui souffrent d’une pollution grandissante à sa base. Les porteurs qui y habitent maintenant à l’année puisqu’ils y trouvent suffisamment de travail pour subsister ont peu de précautions pour l’environnement. Au sommet, une centaine de tonnes de déchets s’étale sur le chemin qu’empruntent les alpinistes, ce qui inquiète un nombre croissant de personnes. On organise de plus en plus de corvées pour nettoyer le site. Des groupes tentent de sensibiliser les grimpeurs pour qu’ils rapportent leurs déchets. Ceci ne pourra qu’améliorer les conditions du site et de l’écosystème fragile qu’on y trouve. L’élève tentera, à l’aide des concepts prescrits reliés au thème, de décrire les effets possibles de la pollution causée par le tourisme d’aventure sur l’écosystème présent au mont Everest. Il proposera des règles qui permettraient de poursuivre l’exploitation du marché du tourisme d’aventure tout en préservant le site et l’attrait qui attire les alpinistes. Finalement, il compare la situation du mont Everest avec un site écotouristique de son choix dans sa région. Il identifie, pour ce site, les sources de pollution du sol en raison de l’activité touristique s’y déroulant et décrit l’impact sur l’environnement. Ainsi, comprendre le cas du mont Everest permet de saisir la fragilité des habitats et l’impact de la pollution.

Crédits
Coordination : Patrick Touchette
Révision didactique et montage du canevas : Nicolas Aubert
Création des enquêtes et des quiz : Sébastien Blais-Corbeil
Rédaction et révision scientifiques, bibliographie : Mohamed Righi
Révision linguistique : Mélodie Lamarre
Remerciements : Véronique Fournier